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dimanche 22 mars 2020

Camus, oamenii si epidemia

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LA PESTE

1:PRÉSENTATION

Dans les œuvres qui forment le cycle de l’absurde, Albert Camus, prenant acte du « divorce » entre l’homme et l’univers, montre la tragédie de notre condition humaine. Mais avec la guerre, il prend conscience de la nécessité de dépasser l’absurde. Il s’engage dans la Résistance, et travaille à un cycle de la révolte, dont La Peste est le premier jalon.
Oran, Algérie. Les rats meurent dans les rues, puis un homme succombe, puis un autre : c’est la peste. La ville est mise en quarantaine, les portes sont fermées, les habitants prisonniers. Le docteur Rieux et ses amis tentent de combattre le fléau, dont l’extension quotidienne rend la mort à la fois atroce et monotone. Les habitants réagissent diversement. Certains prêtent une oreille avide et angoissée aux prêches du père Paneloux, d’autres tentent au contraire de se divertir. Mais la peste frappe partout. Seule vaut la patiente et morne résistance de ceux qui, modestement, s’opposent au mal. Puis le nombre des victimes diminue. L’épidémie s’achève enfin.

2:PERSONNAGES

Les personnages du roman incarnent des attitudes diverses face au mal, et face à l’existence. Rieux, docteur et narrateur, est celui qui panse, et qui pense. Il s’engage, et met sa science au service des hommes, sans gloire héroïque cependant. Il fait son travail, voilà tout. Il connaît la misère. Tarrou, son voisin et ami, combat lui aussi la peste. Il a une morale : la compréhension. Une question l’intéresse : « Peut-on être un saint sans Dieu, c’est le seul problème concret que je connaisse aujourd’hui. » Mais il ne survivra pas à l’épidémie.
Grand est un modeste employé de mairie, qui tient le compte des victimes – triste fonction. Il ne cesse de remanier l’éternelle première phrase de son roman. Pourtant, le narrateur affirme que s’il fallait un héros à son récit, il choisirait Grand : « ce héros insignifiant et effacé qui n’avait pour lui qu’un peu de bonté au cœur et un idéal apparemment ridicule. Cela donnera à la vérité ce qui lui revient, à l’addition de deux plus deux son total de quatre, et à l’héroïsme la place secondaire qui doit être la sienne, juste après, et jamais avant, l’exigence généreuse du bonheur. »
Mais la peste a aussi ses partisans. Cottard qui, au début du récit tente de se suicider, dès que la peste survient, se porte mieux. Il profite de la situation pour ses petites affaires. Quand au contraire, l’épidémie faiblit, il devient fou, et, recherché par la police, il tire sur la foule.

3:THÈMES

Le mal est bien sûr le thème dominant du récit. Or « le fléau n’est pas à la mesure de l’homme ». Il est froid, invisible, impersonnel. La peste frappe aveuglément. Le jeune enfant du juge Othon ne peut y échapper. « Celui-là du moins était innocent, vous le savez bien », dit Rieux au père Paneloux. Celui-ci, en effet, veut voir dans la peste un châtiment divin pour les fautes humaines. Mais une pareille attitude indigne le docteur. Chercher un sens au mal, pour se rassurer, cela peut se comprendre. De là à le justifier ! Pour lui, le mal est absurde. Certains cherchent à expliquer le mal ; lui cherche à le combattre. Dans l’urgence, les préoccupations métaphyques doivent céder le pas aux nécessités pratiques.
Face à l’absurde, Rieux répond par la révolte, mais une révolte active. Il fait, avec tous ses amis, l’expérience de la fraternité dans l’action, pour retrouver, peut-être, le bonheur. Mais le journaliste Rambert désire quitter secrètement la ville, pour rejoindre sa femme. Rieux, qui lui aussi, se trouve séparé de son épouse par les circonstances, semble presque l’y encourager, car il désire « faire quelque chose pour le bonheur ». Mais Rambert abandonne son projet, car « il peut y avoir de la honte à être heureux tout seul ». Renonçant à sa lâcheté égoïste, ce journaliste comprend la supériorité de la solidarité.

4:PORTÉE

Dans un roman écrit dans l’immédiat après-guerre, la ville d’Oran, attaquée par le fléau, est manifestement une allégorie* de la France assaillie par l’Allemagne nazie. C’est sans doute pourquoi il y a si peu d’Arabes dans cette ville algérienne que peint Camus, et pour eux l’occupant était moins à cette époque l’Allemand que le Français. Mais au-delà de cette lecture politique, l’œuvre prend une dimension métaphysique* et universelle, dans la mesure où elle prétend évoquer la condition humaine dans son entier. En effet, à la fin du récit, Rieux, qui se révèle alors comme le narrateur du récit, explique qu’il n’y a pas de « victoire définitive », et il appelle à la vigilance. Le mal, seulement endormi, peut ressurgir, « pour le malheur et l’enseignement des hommes ». Le roman est donc une leçon, un sermon, mais de style humble, honnête, rarement lyrique*, une sorte de témoignage, « pour ne pas être de ceux qui se taisent, pour témoigner [...] qu’il y a dans les hommes plus de choses à admirer que de choses à mépriser ».http://keepschool.com/fiches-de-cours/lycee/francais/peste.html
Quarantaine, contagions, mortalités, épuisement des médecins, hôpitaux saturés : publié en 1947 « La Peste » (Gallimard/Folio) d’Albert Camus rappelle  de manière assez sinistre notre aujourd’hui. L’action se situe  à Oran dans les années 1940. « Camus semble s'être documenté sur une petite épidémie de peste bubonique, survenue à Oran en 1945, succédant à une épidémie plus sérieuse qui avait eu lieu à Alger en 1944, mais son projet est antérieur à l'apparition de ces épidémies, puisqu'il y réfléchit depuis avril 1941, comme en témoignent ses Carnets, où il parle de « la peste libératrice » et note quelques idées. Le 13 mars 1942, il informe André Malraux qu'il a commencé l'écriture d'« un roman sur la peste ». » A Jean Grenier, son ancien professeur de philosophie d’Alger, Camus confie  : « Ce que j’écris sur la peste n’est pas documentaire, bien entendu, mais je me suis fait une documentation assez sérieuse, historique et médicale, parce qu’on y trouve des « prétextes ». Camus «  s’est abondamment documenté sur les grandes pestes de l’histoire dès 1940 », précise l’éditeur. A Roland Barthes, Camus dit en février 1955 : « La Peste a cependant comme contenu évident la résistance européenne contre le nazisme ».  La pandémie du coronavirus amplifie la vente du roman de Camus dans toutes les langues.  "Je relis La Peste pour la troisième fois. C’est un très grand livre, et qui grandira. Je me réjouis du succès qu’il obtient – mais le vrai succès sera dans la durée  par l'enseignement de la beauté», écrivit Louis Guilloux en  juillet 1947 à son ami Albert Camus, rencontré chez Gallimard. Eclairage.

« A Oran comme ailleurs, on est bien obligé de s’aimer sans le savoir », dit Camus dans La Peste. Je me souviens d’avoir aimé Camus «sans le savoir»,  avant de le constater à la lecture de La Peste, mon premier livre du futur Nobel de Littérature. On n’a pas deux fois l’occasion de faire bonne impression. Il s’agit du même enjeu en littérature : pour nous séduire et nous  garder, l’auteur n’a que son  style (« cette adorable manière qu’ont les phrases de se ployer aux sinuosités d’une pensée », précise Bernard Frank, qui n’avait pas de passion pour Camus, mais qui en eut du vivant de l’auteur de L’Etranger et de La Chute ?). Le style suffit au lecteur, en effet, pour  qu’il ait envie de se familiariser avec la pensée de  celui qui a su créer ce lien  avec lui. Une conversation intime et indicible a toujours lieu  entre l’artiste et son lecteur grâce au pouvoir de la lecture. «  Ecrire c’est lutter contre l’impossibilité  d’écrire, s’y arracher ; dès lors, si écrire est devenu possible, l’écriture s’ouvre a la possibilité, à l’exigence de la lecture, qui, nous l’avons dit, est profondément un pouvoir. Le lecteur futur est comme impliqué, assigné à advenir par l’acte d’écriture », affirme Maurice Blanchot. De fait, je fus si bien « assignée à advenir par l’art » de Camus en général et de la Peste en particulier, qu’il m’est resté depuis lors ce désir  de littérature que je place au-dessus de tout. 

En quoi Camus est-il tellement moderne dans La Peste? (personnellement, je préfère La Chute). C’est que La Peste donne le la de toute l’œuvre. D’un accès facile,  le roman dit clairement ce qui fonde la modernité de Camus et sa supériorité sur ses contemporains. Une grande méfiance face aux oukases de l’idéologie. Camus refuse la soldatesque des militants, les réponses toutes faites, le savoir des « sachants » qui savent tout d’avance. Les « prévisibles », en somme.  L’auteur de La Peste n’a que des questions,  ce que j’avais apprécié, en mon dortoir glacé. Le lecteur est « l’acteur décisif de l’œuvre », à condition que le romancier ait l’art et la manière de devenir « maître de son imaginaire »,  sans pour autant lui imposer un cadre trop précis, de sorte que le lecteur puisse grandir, et comprendre, par cet imaginaire augmenté,  non seulement l’œuvre, mais l’entièreté du monde. Sa complexité. La Peste, qui doute de tout, m’a donné une certitude. Le scepticisme est la solution jusqu’à plus ample informé. Dire que La Peste me fit de l’effet serait un euphémisme. Pour commencer, la pension fut vaincue une fois le livre refermé, et la prisonnière que j’avais été acquit le pouvoir  de traverser les  cloisons,  d’ouvrir grand les fenêtres. Je m’évadais tant et si bien qu’il me fallut ensuite continuer à lire Camus, et  tous les  romans disponibles qui me semblaient de cet acabit. Ce  goût de la littérature, je le dois au Camus de La Peste. 

La Peste est, entre autres, une interrogation sur le Mal. La scène de la mort de l’enfant est essentielle. Le sacrifice de l’innocent appelle la douleur et le doute de tout humain digne de ce nom. Il y a dans La Peste une  angoisse métaphysique. Le dialogue entre le prêtre et le médecin sera repris avec des masques divers dans toute l’œuvre de Camus. La grâce de la foi permet à ceux qui croient d’obtenir une réponse ; de même, ceux qui ne croient pas ont-ils face au mal une théorie parfaitement  respectable, elle aussi. Camus est trop fin, trop délicat, pour imposer à son lecteur quelque raisonnement que ce soit. C’est ce  qui est moderne, aussi, dans La Peste, cette absence de réponse, cette pudeur de l’auteur. Pour Camus, le militant n’est pas du côté de la solution. L’idéologie a un côté obtus ( cf. « La bêtise insiste toujours »,souligne Camus). « La Peste fut notre affaire à tous »,  constate  le narrateur. Une affaire  collective qui  exige la solidarité de tous et permet au Dr Rieux d’accomplir son métier d’homme, point. Alors que la crise sanitaire est vaincue en partie grâce à lui,  Rieux apprend que sa femme est morte. La « récompense » du médecin et de son abnégation semble un châtiment,  mais qu’en savons-nous ? Le destin de Rieux, sorte de saint laïc, n’est pas bouclé. «  Pour faire notre métier d'homme, il fallait arriver à être des Sisyphe heureux. Mais je sais aujourd'hui, à l'aube convulsive du XXIe siècle, que les hommes n'y arrivent jamais vraiment (…) » déclara Jean Daniel, écrivain-fondateur du Nouvel Observateur et proche de Camus, qui vient de nous quitter.

A l’heure du Covid-19, la pandémie  remet  en question une certaine mondialisation. Comment répondre à cette peur qui gagne, quelle attitude tenir ? Pas de réponse dans La Peste mais une belle interrogation.  

Biographie de Camus

Albert Camus naît à Mondovi, en Algérie, en 1913. Pendant la seconde guerrre mondiale, il intègre un mouvement de résistance à Paris, puis devient rédacteur en chef du journal «Combat» à la Libération. Romancier, dramaturge et essayiste, il signe notamment «L'étranger» (1942) et «La Peste» (1947), et reçoit le prix Nobel de littérature en 1957. Il meurt en 1960 dans un accident de voiture. 
Résumé :
La peste chef d’œuvre d’Albert camus raconte une maladie étrange envahissant l’atmosphère d’Oran et mettant à l’épreuve les sentiments des personnes.
L’auteur raconte les aventures vécues par le docteur Rieux qui voit passer devant ces yeux une maladie longtemps disparue et qui  réapparait dans la ville d’Oran : la peste.
Extrait :
« C’était le temps, sans doute. Tout poissait aux mains à mesure que la journée avançait et Rieux sentait son appréhension croître à chaque visite. Le soir de ce même jour, dans le faubourg, un voisin du vieux malade se pressait sur les aines et vomissait au milieu du délire. Les ganglions étaient bien plus gros que ceux du concierge. L’un d’eux commençait à suppurer et, bientôt, il s’ouvrit comme un mauvais fruit. Rentré chez lui, Rieux téléphona au dépôt de produits pharmaceutiques du département. Ses notes professionnelles mentionnent seulement à cette date : « Réponse négative ». Et, déjà, on l’appelait ailleurs pour des cas semblables. Il fallait ouvrir les abcès, c’était évident. Deux coups de bistouri en croix et les ganglions déversaient une purée mêlée de sang. Les malades saignaient, écartelés. Mais des taches apparaissaient au ventre et aux jambes, un ganglion cessait de suppurer, puis se regonflait. La plupart du temps, le malade mourait, dans une odeur épouvantable.
La presse, si bavarde dans l’affaire des rats, ne parlait plus de rien. C’est que les rats meurent dans la rue et les hommes dans leur chambre. Et les journaux ne s’occupent que de la rue. Mais la préfecture et la municipalité commençaient à s’interroger. Aussi longtemps que chaque médecin n’avait pas eu connaissance de plus de deux ou trois cas, personne n’avait pensé à bouger. Mais, en somme, il suffit que quelqu’un songeât à faire l’addition. L’addition était consternante. En quelques jours à peine, les cas mortels se multiplièrent et il devint évident pour ceux qui se préoccupaient de ce mal curieux qu’il s’agissait d’une véritable épidémie. C’est le moment que choisit Castel, un confrère de Rieux, beaucoup plus âgé que lui, pour venir le voir.
— Naturellement, lui dit-il, vous savez ce que c’est, Rieux?
— J’attends le résultat des analyses.
— Moi, je le sais. Et je n’ai pas besoin d’analyses. J’ai fait une partie de ma carrière en Chine, et j’ai vu quelques cas à Paris, il y a une vingtaine d’années. Seulement, on n’a pas osé leur donner un nom, sur le moment. L’opinion publique, c’est sacré : pas d’affolement, surtout pas d’affolement. Et puis comme disait un confrère : « C’est impossible, tout le monde sait qu’elle a disparu de l’Occident. » Oui, tout le monde le savait, sauf les morts. Allons, Rieux, vous savez aussi bien que moi ce que c’est. Rieux réfléchissait. Par la fenêtre de son bureau, il regardait l’épaule de la falaise pierreuse qui se refermait au loin sur la baie. Le ciel, quoique bleu, avait un éclat terne qui s’adoucissait à mesure que l’après-midi s’avançait.
— Oui, Castel, dit-il, c’est à peine croyable. Mais il semble bien que ce soit la peste… »
https://lewebpedagogique.com/cdibazeilles/2012/01/22/la-peste-dalbert-camus/

Albert Camus face au Mal, « La peste » à 70 ans


En 1947, deux ans après la fin de la seconde guerre mondiale, l’écrivain français Albert Camus publiait La Peste, premier roman de sa trilogie sur l’homme révolté qui lui valut le prix Nobel de littérature en 1957. 
Dans la ville « ordinaire » d’Oran, on assiste au déclenchement, à la longue durée et au déclin d’une épidémie de peste, qui fait de nombreuses victimes. La ville est alors isolée du reste du monde par les autorités. Dans ce théâtre dramatique, plusieurs personnages sont confrontés au problème du mal, de la souffrance, de la mort, de l’exil, de la séparation, mais aussi de l’amitié et de l’amour. 
Albert Camus conçoit l’art comme « l’imagination à partir du réel ». Le réel, dans le cas de La Peste, c’est l’occupation Nazie et la résistance. L’imagination de Camus compare donc cette situation vécue par les  français, avec une peste et consigne les réactions des gens : négation, énervement, divertissements, fuite,  la peur, etc… 
On peut suivre pas à pas le personnage principal, un jeune médecin de trente-cinq ans, le Docteur Rieux, qui, malgré sa peur et ses difficultés (une femme gravement malade), s’engage résolument dans la lutte acharnée contre le fléau parce que « quand on voit la misère et la douleur qu’elle apporte, il faut être fou, aveugle ou lâche pour se résigner à la peste. » Fort de ce sentiment, il ne compte pas ses heures auprès des malades. Rieux refuse d’être un héros au sens où on l’entend communément, mais pour lui « la seule façon de lutter contre la peste, c’est l’honnêteté », c’est-à-dire « faire son métier », ni plus ni moins et prendre acte de la réalité telle qu’elle se vit, sans abdiquer. 
Il est le compagnon attentif des autres personnages qui lui livrent leurs combats et leurs réflexions sur le mal. Ces derniers offrent finalement, à sa suite, leur contribution à cette lutte honnête : par exemple, Rambert, le journaliste qui ne pense d’abord qu’à s’échapper de la ville pour rejoindre celle qu’il aime, ou bien Grand, cet humble employé de mairie, qui regrette depuis des années de n’avoir pas su aimer son épouse, partie depuis longtemps. Ces deux personnages sont hantés par la souffrance de la séparation et la peur de la perte du bonheur. 
Et puis, il y a l’énigmatique Tarrou. Il confie à Rieux : « Je souffrais déjà de la peste bien avant de connaître cette ville et cette épidémie ». Faisant le lien entre le penchant au mal qui existe en tout homme et la peste il conclut : « C’est pourquoi encore cette épidémie ne m’apprend rien, sinon qu’il faut la combattre à vos côtés. Je sais de science certaine… que chacun la porte en soi, la peste, parce que personne, non personne au monde n’est indemne. Et qu’il faut se surveiller sans arrêt pour ne pas être amené, dans une minute de distraction, à respirer dans la figure d’un autre et à lui coller l’infection… L’honnête homme, celui qui n’infecte presque personne, c’est celui qui a le moins de distraction possible. » 
Au milieu d’une tragédie où l’absurde est traité jusqu’au scandale de la mort des enfants innocents, ce livre plein d’humanité nous montre le cœur de l’homme, qui se révèle davantage dans la souffrance. L’auteur, conscient que le combat est à accomplir tout au long de la vie, termine le livre par cette note : «Et pour dire simplement ce qu’on apprend au milieu des fléaux, qu’il y a dans les hommes plus de choses à admirer qu’il y a de choses à mépriser ». http://terredecompassion.com/2017/12/18/camus-face-au-mal-la-peste-a-70-ans/

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